COUPS DE GUEULE


Décidément, la France n'évolue pas dans le bon sens ; elle sera très bientôt un nouveau membre du quart-monde.

La France est l'un des pays les plus violents de la planète. La France, c'est la Colombie d'il y a trente ans. Incendies, saccages, pillages, manifestations récurrentes et violentes, fusillades dans les rues (avec victimes collatérales), actes terroristes, féminicides, infanticides, maires et députés menacés, agressions de toutes sortes (et souvent gratuites), actes de malades mentaux (étonnamment en liberté), actes de criminels récidivistes (étonnamment en liberté), mineurs délinquants (en toute impunité) ...

J'aspirais, pour mon pays, à de la modernité, du civisme, de la sécurité, de la justice, de la paix sociale.

C'est tout l'inverse qui s' y produit. C'est à gerber. Un immense gâchis.

Il me vient de plus en plus souvent l'envie de quitter ce pays où règne dorénavant la barbarie.


Certains politiciens français ont le désir de réindustrialiser le pays. Ce n'est que de la communication ; au fond d'eux-mêmes, ils savent bien que c'est devenu impossible. A cause de quelques hurluberlus.

Par exemple, ce qui s'est passé à Liffré (Bretagne) avec l'entreprise Bridor (boulangerie et viennoiserie industrielle du groupe Le Duff), est très représentatif de l'état d'esprit actuel de notre beau pays. Cela faisait des années que Bridor désirait installer son usine à Liffré. Quelques associations à tendance écolo ont multiplié des démarches juridiques, afin de leur mettre des bâtons dans les roues. Après six années de combat administratif, Le Duff a rendu les armes et a renoncé à installé son usine Bridor. Alors que cela aurait créé un minimum de 500 emplois. Alors que cela aurait donné un coup de fouet non négligeable à l'économie de la région.

L'écolo ne veut pas que la société évolue. Contrairement à ce qui se dit, le vrai réac, c'est l'écolo.

L'écolo se fiche pas mal des créations d'emplois. Le rêve récurrent de l'écolo est de vivre dans sa maison gauloise (en torchis) et de toucher son  fameux "revenu universel", sans faire le moindre effort. Remarque, il est en accord avec lui-même ; la sueur n'est-elle pas une forme de pollution ?

Dans notre beau pays, il y a longtemps que ce ne sont plus les électeurs qui décident. Les gens qui décident (et qui ont toujours gain de cause) sont quelques minorités d'écolos perchés, de zadistes (et autres punks à chiens), d'idéologistes d'extrême gauche, de black blocs agressifs (mes excuses pour le pléonasme).

Adieu la Démocratie ! 


J'éprouve de l'empathie pour les habitants du département de Mayotte. Ils subissent, jour après jour, une invasion migratoire de grande amplitude, celle des Comoriens. La situation devient désastreuse, viloente, intenable.

Mayotte est une sorte de laboratoire. Ce qui s'y passe actuellement préfigure le futur de la France, notre pays recevant chaque année sur son sol des centaines de milliers de personnes indésirées. Dans quinze ans, peut-être même avant, la France sera dans le chaos, il sera impossible d'y vivre paisiblement. Il sera trop tard pour maîtriser les flux migratoires. Trop tard pour revenir à un bon équilbre de possible cohabitation entre les communautés.

Elle deviendra une Mayotte à grande échelle.